Tous les soumis ne sont pas adeptes du findom
Dans le monde du BDSM, il existe une grande diversité de profils, de désirs et de pratiques. L’un des amalgames les plus fréquents est de croire que tout soumis est forcément un « money slave », adepte de findom. Il est temps de clarifier les choses.
Le findom : une pratique à part entière
Le fétichisme de la domination financière, ou findom, repose sur une dynamique où le soumis tire du plaisir à offrir de l’argent, des cadeaux ou des hommages financiers à sa Domina. Ce jeu de pouvoir, souvent basé sur l’humiliation ou la privation financière, est parfaitement valide lorsqu’il est consenti et encadré.
Mais tous les soumis ne sont pas dans cette démarche.
La soumission va bien au-delà de l’argent
De nombreux soumis ne recherchent pas la domination financière. Ce qu’ils désirent, c’est une expérience profonde, mentale, émotionnelle ou corporelle : discipline, obéissance, jeux psychologiques, bondage, humiliation verbale ou rituels de servitude.
Leur plaisir ne passe pas par l’acte de donner de l’argent en soi, mais par l’abandon, le lâcher prise et le cadre imposé par leur Domina.
Et c’est là que mon rôle de professionnelle entre en jeu.
Je suis une Domina professionnelle
Que le soumis soit adepte du findom ou non, mes séances de domination sont payantes, tout simplement parce que j’exerce ce métier avec sérieux, implication et expertise.
Je ne suis pas une fantasmeuse de messagerie, ni une illusion gratuite : je suis une Domina professionnelle, qui consacre du temps, de l’énergie et des ressources à offrir un cadre sécurisé, intense et respectueux.
Le BDSM encadré par une professionnelle mérite reconnaissance et rétribution.
Il ne s’agit pas d’exiger de l’argent pour le plaisir du gain. Il s’agit de respecter mon savoir-faire, mon implication et les limites claires entre jeu, rôle, et prestation.
En résumé
🔸 Tous les soumis ne sont pas des « money slaves », et ce n’est pas une obligation pour me servir.
🔸 L’essence du BDSM reste la confiance, le respect, la communication et le consentement.